By Tiia Öhman

Tiia a choisi sa maman pour l’accompagner dans sa découverte de Barcelone. Un séjour de quelques jours inoubliables pour le duo mère fille.

N’étant pas contre l’idée de faire «les trucs de touristes», comme elle les appelle, Tiia et sa mère ont choisi de prendre l’un des nombreux bus touristiques pour admirer la beauté de la capitale de la Catalogne. Les magnifiques bâtiments qui semblent tout droit sortis d’un conte de fées les ont laissées sans voix.

Tiia n’hésite jamais à emprunter ces bus à impériale pour touristes, elle trouve même que c’est un bon moyen de découvrir et de voir tout ce que la ville a à offrir. Elle apprécie également le fait d’être libre de monter et de descendre du bus quand bon lui semble pour explorer certaines parties de la ville de plus près.

Après leur première journée, Tiia et sa mère ont continué d’explorer la ville.

Elles se sont rendues dans le quartier gothique, très prisé des touristes, en empruntant une ruelle non loin de la Plaça de les Beates. Elles se sont baladées un petit bout de temps pour prendre des photos des ruelles étroites rencontrées en chemin.

Pour le petit-déjeuner, elles ont opté pour Cappikccino, situé sur Carrer de Sant Pere Mes Baix, où elles ont pu déguster des baguettes fraîchement cuites et du bon café. Elles ont même aperçu un petit toutou qui portait sa propre bouteille d’eau.

Il semblerait que même les animaux de Barcelone aient compris l’importance de s’hydrater par cette chaleur.

Tiia et sa mère se sont tout d’abord rendues au vieux port de Barcelone, Port Vell, où elles ont embarqué sur une goélette pour une petite croisière.

Avant de partir sur les flots, elles se sont arrêtées pour prendre un café et étaient particulièrement excitées à l’idée de découvrir la ville sous un autre angle.

Comme les jours précédents, il faisait chaud et le ciel était bien dégagé, le temps idéal pour une balade en mer.

Elles ont adoré cette sculpture représentant un petit garçon : Miraestels, une statue flottante réalisée par Robert Llimós et inspirée par le poème « EL SALTAMARTÍ » de Joan Brossa.