L'hĂŽtellerie anglaise, par le passĂ©, n'avait pas bonne presse. A l'hĂŽtel Ashley, nous avons eu l'impression que, justement, on tenait Ă maintenir une telle tradition dâinhospitabilitĂ© : aucun accueil sur place; salle de bain minimaliste; fenĂȘtres pas lavĂ©es depuis -- probablement -- la reine Victoria; un Wi-Fi comme par hasard en panne "pile" les jours oĂč nous y Ă©tions, ce qui a empĂȘchĂ© tout travail; dĂ©bit de la chasse d'eau trĂšs insuffisant; douche Ă la propretĂ© lamentable et au mĂ©canisme fantasque (1); peinture Ă©caillĂ©e un peu partout; toiles d'araignĂ©es; moquettes nĂ©cessitant un sĂ©rieux nettoyage,.. Le tout Ă l'avenant. Seul point positif : l'amabilitĂ© de Diana prĂ©sente lors du petit dĂ©jeuner : une charmante jeune femme qui fait ce qu'elle peut dans un environnement dans lequel nous la plaignons de travailler. La veille de notre arrivĂ©e, nous avons reçu un mail selon lequel "The Ashley House Hotel reception will be closed on the 26th of September". En rĂ©alitĂ©, comme le prouve la photo de l'interphone, l'absence de personnel Ă la rĂ©ception est permanente, non exceptionnelle comme le laisserait supposer le mail. Conclusion : un trĂšs mauvais souvenir. HĂŽtel Ă Ă©viter.
(1) avec les mains savonneuses, il est impossible de tourner le robinet : prĂ©voir d'ĂȘtre 2, dont un avec les mains sĂšches (voir photo).