Par quoi commencer? Nous nous sommes retrouvĂ©s devant l'hĂŽtel, la porte verrouillĂ©e par un code que nous n'avions pas. Nous nous sommes donc adressĂ©s au "restaurant" oĂč l'employĂ©e nous a dit d'aller voir ailleurs car "ce n'est pas le mĂȘme Ă©tablissement" bien qu'ils partagent le mĂȘme nom et bĂątiment.
Nous contactons l'hĂŽtel par tĂ©lĂ©phone et tombons sur une plate-forme tĂ©lĂ©phonique trĂšs bruyante oĂč l'interlocuteur nous crie qu'il nous envoie le code. Finalement nous avons profitĂ© du passage d'un hĂŽte pour entrer.
A la réception, personne. Nous avons attendu 20 minutes, jusqu'à réception d'un SMS indiquant le code d'accÚs de la porte, le n° de chambre et un autre code.
Nous partons donc à la recherche de la chambre, à cÎté de laquelle se trouve e un petit boßtier à code. Les escape-game portent enfin leur fruit, nous déduisons qu'il faut rentrer le code non identifié et nous récupérons la clé.
A l'ouverture de la porte, horreur. Le sol est couvert d'une moquette tachetĂ©e, pas une poubelle en vue, la tv n'est qu'accessoire, le peu de mobilier rongĂ© par l'humiditĂ© et la douche est sale. Le seul avantage est qu'il est possible de faire ses besoins, sa toilette et de se laver en mĂȘme temps vu l'espace.
La nuit, la fenĂȘtre non Ă©tanche nous a permis de profiter des sirĂšnes et autres cris de passants dont l'attitude allait de paire avec l'odeur ambiante de cannabis et d'urine flottant dans les couloirs de "l'hĂŽtel".
En conclusion, nous ne vous recommandons pas ce lieu.